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L’accompagnement des pathologies démentielles (Alzheimer et apparentés) en Ehpad

Personne avec une pathologie de démence
Vous souhaitez accompagner un proche atteint de la maladie d’Alzheimer dans son entrée en Ehpad mais avez peur que sa pathologie ne soit pas bien prise en charge ? Sachez que la plupart des Ehpad sont habilités à accompagner les résidents atteints de démences. Cependant, certains Ehpad du Groupe AVEC possèdent des Unités de Vie Protégée et proposent donc des solutions plus adaptées à ce type de pathologie. En effet, près de 50% des personnes âgées en Ehpad sont atteintes d’un trouble cognitif tel que la démence.
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Un accompagnement adapté aux démences dans nos Ehpad

Dans tous les Ehpad du Groupe AVEC, le personnel est formé pour travailler auprès de résidents atteints de démences. Ces professionnels sont habitués et savent réagir de la bonne manière face aux situations que peut provoquer la maladie.

Dans un Ehpad classique, l’accueil d’un résident atteint de la maladie d’Alzheimer est conditionné de la même façon que pour tous les autres résidents. L’analyse du dossier médical et administratif ainsi que le nombre de places disponibles dans l’Ehpad peuvent avoir un impact sur l’admission ou non du résident. Si celui-ci intègre l’un de nos Ehpad, l’accompagnement et les soins seront naturellement adaptés à sa pathologie.

Cependant, lorsque le résident présente un risque important de fugue ou de déambulation, l’accueil dans un Ehpad classique ne permet pas toujours de garantir sa sécurité. Afin de ne pas le mettre en danger, il est conseillé de se tourner vers les Unités de Vie Protégée.

 

Un hébergement dans une Unité de Vie Protégée (UVP)

Bien que tous les Ehpad puissent accueillir un résident atteint de troubles cognitifs légers, il existe des Unités de vie protégée pour mieux encadrer les démences telles que la maladie d’Alzheimer.

Nos Ehpad suivants possèdent une Unité de vie Protégée :

 

Un lieu conçu et confortable pour les résidents atteints d’Alzheimer ou démences apparentées

L’Unité de vie protégée accueille les résidents atteints de démence. Ce service se trouve dans l’Ehpad, et comprend généralement peu de résidents. Cette partie de l’Ehpad permet aux résidents atteints de démences de se sentir au calme, dans un lieu de petite taille et apaisant, où ils peuvent circuler librement et en toute sécurité.

 

Du personnel formé et motivé

Le personnel de l’Unité de vie protégée Alzheimer suit des formations afin de se spécialiser et accompagner les résidents atteints de la maladie d’Alzheimer ou autres démences. Ces formations couvrent les aspects théoriques et pratiques de la maladie. Le personnel apprend à gérer le comportement des personnes atteintes, grâce à une communication verbale et non verbale notamment.

En général, le personnel en UVP choisit de travailler dans ce service et est très motivé à accompagner les résidents atteints de cette pathologie en particulier. Ils associent également les familles des résidents à leur quotidien. Ces aidants familiaux reçoivent du soutien en lien avec la maladie de leur proche grâce à l’Unité de vie protégée.

 

Des activités thérapeutiques pour les démences

Les chambres de l’Unité de vie protégée sont souvent réparties autour d’une salle commune dans laquelle les résidents peuvent aussi bien partager les repas que participer aux activités collectives.

Ces activités sont variées :

  • Des ateliers cuisine,
  • Du jardinage pour entretenir les fonctions cognitives,
  • Des activités physiques pour travailler les capacités fonctionnelles,
  • Des ateliers de stimulation de la mémoire,
  • De la musicothérapie et de l’art-thérapie pour stimuler les fonctions sensorielles,
  • Des activités du quotidien comme mettre la table, débarrasser ou se servir soi-même pour préserver l’autonomie,
  • D’autres activités ludiques pour maintenir du lien social entre les résidents.

 

L’entrée en Unité de vie protégée

Pour intégrer l’Unité de vie protégée d’un Ehpad, les personnes doivent être valides mais désorientées. Souvent, l’entrée en UVP est motivée par un risque de fugue chez le sénior, des troubles du comportement tels que l’agressivité, les cris, l’agitation ou la déambulation, mais aussi un souhait de maintenir les capacités motrices ou intellectuelles en les stimulant dans un établissement spécialisé.

Parfois, un résident en Ehpad peut intégrer une UVP si sa situation le requiert, mais le cas inverse est également possible. Lorsque le résident n’entre plus dans les critères de l’UVP, l’établissement peut lui proposer une autre chambre dans l’Ehpad. Cela doit évidemment être inscrit dans le contrat de séjour en Ehpad.

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